⚠️ ALERTE : Ne soyez pas complice de votre propre ruine.

 


LA GRANDE ARNAQUE DU "VISIBLE"

Leur cynisme est sans limite. Les assureurs aiment les fractures et les cicatrices : elles se voient, elles se mesurent. C'est facile, c'est "propre", ça rentre dans leurs cases Excel. Mais dès que la blessure ne se voit pas à l'œil nu, ils sortent l'artillerie lourde du déni.

Mais les séquelles invisibles , elles, sont systématiquement minimisées :

  • Stress post-traumatique réduit à une “anxiété passagère”.
  • Douleurs neuropathiques qualifiées de “subjectives”.
  • Fatigue chronique ignorée car “non directement liée à l’accident”.
  • Troubles cognitifs (perte de mémoire, concentration) minimisés comme “difficultés temporaires”.

L'Exemple qui fait froid dans le dos

Exemple : une victime de traumatisme crânien souffrant de migraines quotidiennes se voit proposer une indemnisation symbolique, car “aucune preuve objective” ne permettrait de quantifier sa douleur. On vous demande de prouver que vous avez mal, comme si vous étiez le coupable !


LES 5 PIÈGES MORTELS TENDUS PAR VOTRE ASSUREUR

Ne soyez pas naïfs. Les compagnies d’assurance déploient des stratégies systématiques pour réduire les indemnisations :

1. La Mascarade de l'Expertise "Indépendante" Expertises médicales orientées : médecins mandatés par l’assureur, qui minimisent les séquelles invisibles.

La vérité : Le médecin de l'assurance n'est pas là pour vous soigner. Il est payé par la compagnie pour limiter la "casse financière". Face à lui, si vous êtes seul, vous êtes déjà condamné.

2. Le Chèque "Pomme Empoisonnée" Offres rapides et séduisantes : présentées comme un “gain de temps”, elles visent à clore le dossier avant diagnostic complet. Ils jouent sur votre détresse financière immédiate pour vous faire signer l'abandon de vos droits futurs.

3. Le Mépris de votre Carrière Sous-évaluation des préjudices professionnels : incapacité à reprendre son métier indemnisée comme une gêne temporaire. Vous perdez votre emploi ? Pour eux, c'est juste une "période d'adaptation".

4. Le Chantage Affectif et Temporel Pression psychologique : incitation à accepter une indemnisation “clé en main”, sous menace implicite de procédures longues. "Signez maintenant ou attendez 10 ans", voilà leur chantage odieux.

5. La technique du "Saucissonnage" Fragmentation des préjudices : chaque séquelle est isolée pour réduire l’impact global. Usage abusif des barèmes indicatifs : utilisés comme plafond, alors qu’ils devraient être de simples repères.


LE CAUCHEMAR DE LA TRANSACTION HÂTIVE

Exemple : une victime accepte une indemnisation immédiate de 20 000 €, mais découvre plus tard qu’elle souffre de séquelles psychologiques lourdes. La sentence est irrévocable : Impossible de rouvrir le dossier sans procédure judiciaire complexe. Vous avez signé pour 20 000 €, alors que votre préjudice réel valait peut-être 200 000 €. La différence ? Elle est directement dans la poche des actionnaires de l'assurance.


ILS PIÉTINENT LA LOI EN TOUTE IMPUNITÉ

Ces pratiques vont à l’encontre des principes fondamentaux du droit français :

  • Article 1240 du Code civil : obligation de réparer intégralement le dommage. Pas "un peu", pas "ce qui arrange l'assureur", mais INTÉGRALEMENT.
  • Nomenclature Dintilhac (2005) : reconnaît les préjudices psychologiques, cognitifs et sociaux comme indemnisables.
  • Jurisprudence constante : la réparation doit être complète, sans minoration artificielle.

Pourtant, les assureurs préfèrent préserver leurs marges que respecter la loi. Ils parient sur votre épuisement. Ils savent que vous êtes affaibli. C'est un combat déloyal.

Les chiffres de la honte :

  • Plus de 40 % des victimes de traumatisme crânien souffrent de séquelles invisibles non reconnues par les assureurs.
  • Le Ratio de la Colère : Une expertise traumatisme crânien indépendante peut multiplier par 2 ou 3 le montant de l’indemnisation.
  • Les préjudices invisibles représentent parfois plus de 60 % du dommage corporel total.

Ce que l'assureur propose (Exemple)

Ce que la loi prévoit (Réalité)

Déficit fonctionnel : 5%

Déficit réel (avec invisible) : 25%

"Gêne dans la vie courante"

Perte d'agrément & Préjudice sexuel

Indemnisation : 15 000 €

Indemnisation : 120 000 €

Exporter vers Sheets


VOTRE SEULE OPTION : LA CONTRE-ATTAQUE

Face à ces pratiques abusives, le Cabinet de Me Marteau-Péretié, avocate en traumatisme crânien, est votre arme juridique :

Il ne s'agit plus de négocier, il s'agit de gagner la guerre :

  1. Contestation des expertises médicales biaisées. Nous démolissons leurs rapports fallacieux.

  2. Valorisation des séquelles invisibles dans le calcul de l’indemnisation. Nous faisons payer ce qu'ils refusent de voir.

  3. Défense acharnée pour obtenir une réparation intégrale.

  4. Protection contre les manœuvres financières des assureurs.

? Ne laissez pas les assureurs réduire votre vie à des chiffres. Faites reconnaître vos droits.

N'attendez pas qu'il soit trop tard. Chaque courrier que vous ouvrez sans avocat, chaque "médecin conseil" que vous voyez seul, est un pas de plus vers une indemnisation au rabais.


Références et Sources Juridiques Incontournables :

  • Lambert-Faivre, Y., Porchy-Simon, S. (2022). Droit du dommage corporel. Systèmes d’indemnisation. Dalloz.
  • Roussel, F. (2019). L’indemnisation des traumatisés crâniens et grands handicapés moteurs. LexisNexis.
  • Brémond, G., Béjui-Hugues, H., Bessières-Roques, I. (2025). Précis d’évaluation du dommage corporel. Argus de l’assurance.
  • Association France Traumatisme Crânien (2020). Traumatisme crânien : comprendre le handicap invisible.
  • Young, G., Kane, A.W., Nicholson, K. (2007). Causality of Psychological Injury: Presenting Evidence in Court. Springer.
  • Young, G. et al. (2008). Handbook of Psychological Injury and Law. Springer.
  • Code civil français, art. 1240 et suivants.
  • Nomenclature Dintilhac (2005). Rapport sur la nomenclature des préjudices corporels.