La convalescence peut entraîner une situation financière difficile

Si un membre de la famille subit un préjudice corporel lors d’un incident domestique ou professionnel il arrive que la mise en application des indemnisations tarde à se réaliser. Cette situation peut entraîner rapidement la famille dans un cas de mal endettement car elle peut voir une partie de ses revenus se retrouve amputé. Si l’un des membres gère une entreprise cette situation peut se tendre car l’exploitation étant directement en lien avec la présence du gérant il se pourrait que ladite entreprise connaisse une dépréciation de sa valeur. Dans de rares cas, certains employeurs ne jouent pas toujours le jeu pour l’indemnisation de leur salarié lors d’un accident de travail. Cette situation à haut risque peut fragiliser la stabilité financière du foyer.

En outre, une convalescence entraîne mécaniquement des surcoûts liés aux frais de santé, aux déplacements ou encore à d’autres coûts indirects. Pour des maladies graves, le déplacement dans un hôpital spécialisé nécessite des déplacements réguliers pour le convalescent mais aussi pour la famille et ses proches. Il se peut que la maladie ou l’accident entraîne l’implémentation d’une prothèse. Ce traitement se révèle onéreux, et ne fait pas systématiquement l’objet d’un remboursement auprès de la CPAM ou des assurances, ce qui accroît le risque de déstabilisation financière. Si le convalescent décide d’engager une procédure judiciaire suite à son préjudice, le temps de la procédure risque d’être plus long que prévu ce qui allonge aussi la durée d’indemnisation. A cela, l’avocat demandera des frais de débours pour assurer la défense de son client.

Le recours au regroupement de crédit pour rétablir la situation

Afin de vivre la plénitude de sa convalescence pour mieux guérir, le malade pourra adapter son budget à sa situation en regroupant son crédit. Cette opération financière plus connu aux États-Unis permet à un emprunteur d’alléger ses finances en réduisant son taux d’endettement pour l’adapter à une période plus difficile. Ce dispositif lui permettra de réduire ses mensualités et de fait, améliorer son reste à vivre. Il est possible de réunir un crédit immobilier, un crédit personnel mais aussi une somme liquide allouée. Dans le cas d’une convalescence ou d’une période de procédure judiciaire, les sommes engagées permettraient de vivre plus aisément.

Pour engager un regroupement de crédit il suffit de faire appel à un spécialiste en intermédiation bancaire (pour en savoir : plus un article sur le rachat de crédit). Une fois la simulation réalisée pour mieux connaître sa situation et préciser son projet, le demandeur prendra connaissance du délai de l’emprunt ainsi que des mensualités. Ensuite des informations nécessaires à l’élaboration du dossier exigent l’envoi des documents qui prouvent l’identité du demandeur, les sources de revenu, et les charges du ménage. Une fois reçu, une analyste vérifie l’étude de faisabilité pour analyser l‘ensemble du dossier pour proposer une offre adaptée aux besoins du demandeur. Une fois l’accord obtenue l’offre d’acceptation sera remis au demandeur qui dispose d’un délai de quatorze jours de réflexion pour le retourner. Par la suite, le déblocage des fonds est libéré, ce qui entraîne le prélèvement à la fin du mois de la première et unique mensualité.
Le regroupement de crédit est une opération simple à mettre en œuvre puisque l’emprunteur pourra garder sa banque actuelle.

Une fois la situation du convalescent stabilisée, si par exemple celui-ci perçoit ses indemnités, ou ses dommages et intérêts, il pourra rembourser son emprunt pour réduire son taux d’endettement.

Effectuer une simulation de rachat de crédit ?